Retour en grâce du chômage partiel

Fil d'actualités économiques | 6 septembre 2022

Alors que depuis le 1er août, la prise en charge par l’Etat et l’Unedic de l’activité partielle engendre un manque à gagner salarial pouvant atteindre 40% du brut, et laisse à l’employeur un reste-à-charge de 40%, la crise énergétique qui engendre de plus en plus de fermetures d’usines pour motif économique incite CPME et syndicats à demander à l’exécutif un renforcement de dispositif.